Thamnophis sirtamis parietalis RALa maintenance et l'élevage des serpents deviennent de plus en plus compliqués avec la législation restrictive établie sous la pression des soi-disant « protecteur des animaux et autres végans » ; ainsi beaucoup de « serpents » nécessitent d'avoir un certificat de capacité à partir d'un seul spécimen.

Les cladistes pourront hurler autant qu'ils veulent, le terme serpent est un regroupement paraphylétique d'animaux rampant, nom facilement compréhensible par les gamins à partir d'un certain âge, et ce depuis que l’un d’entre eux a offert la pomme à Eve.
Mais Squamata bof ! Même les homéothermes, en général, s'en méfient instinctivement.
J'ai donc choisi de vous présenter 3 espèces de serpents, dont une classée dangereuse.
Les deux premières espèces peuvent être considérées comme serpents pour terrariophiles débutants. Leur biotope et leur alimentation sont assez aisés à réaliser, pour la troisième, c'est plus compliqué pour des raisons de sécurité.


Pantherophis guttatus RAPanterophis guttata (Linné, 1766)
Nom commun : Serpent des blés.
Famille : Colubridae
Sous-famille : Colubrinae
Près de 35 synonymes, jusqu'en 2002 l'espèce était classée dans le genre Elaphe.
Taille maximale : 180 cm.

Le serpent des blés est l’un des plus beaux serpents. Bien qu’il soit musclé, son corps est élancé et élégant. La queue a une longueur moyenne, les grands yeux sont noirs avec une pupille ronde. D'un coin à l'autre de la bouche s'étire une bande rouge-carmin marginée de sombre. La partie supérieure de la tête est décorée d’un dessin en V ondulé qui s'étend le long du cou. La couleur de base de la partie supérieure du corps est rose pâle. Elle est interrompue à intervalles réguliers par un grand nombre de taches de couleur carmin à acajou, bordées de sombre. Il y a des taches similaires sur les côtés et il ne reste que quelques écailles noires jusqu’à la queue. La face abdominale est blanchâtre, avec des taches presque obliques et noires. Les écailles sont légèrement incurvées, les côtés sont, de part et d’autre, caleux, de sorte que le serpent peut très bien grimper.

Pantherophis guttatus20 RARépartition géographique : USA, du New Jersey jusqu'à la Floride et du Sud du Tennessee jusqu'au Texas, Mexique et Nouveau Mexique, Sud-Est du Colorado, Sud-Est du Nebraska et Sud-Ouest de l'Illinois.
Biotope : Forêts de pins ouvertes, ensoleillées, même à proximité de petits cours d’eau, en marge des champs de maïs et d’autres terres cultivées. Dans des vergers sauvages, sous des tas de pierres et dans des terriers de lapins. Présence jusqu'à une altitude de 1 800 m.

Temps d’activité : divisé, le plus souvent le jour actif, au printemps et plus crépusculaire en été.

Température de maintenance : 22 à 28 °C, de nuit 18 à 20 ° C. Parce que les serpents sont habitués aux variations saisonnières de température, la température devrait être pilotée avec une minuterie.

Hibernage : Un hibernage à 5 à 17 °C pendant 6 à 8 semaines est absolument nécessaire pour permettre la reproduction. Toutefois, la durée de l’hibernage peut varier en fonction de la latitude d'origine.

Terrarium : Pantherophis guttata est plus présent dans les espaces secs en milieu naturel et le terrarium devra être aménagé en conséquence. Les dimensions doivent être d’environ 150 cm x 60 cm x 50 cm de haut. En tant que vivier d’élevage, nous aménageons simplement le terrarium pour faciliter le nettoyage fréquent.

Pantherophis guttatus albinosRAÉquipement : Sol sablonneux et feuillus mélangés, 2-3 pierres disposées pour qu'elles ne forment pas un goulet d'étranglement. En cas d'utilisation de pots-de-fleurs, les lester avec une pierre car la couleuvre peut les soulever. Présence de racine de tourbière et d'une branche avec une écorce rugueuse. Un récipient d'eau, une aération efficace ainsi qu'une propreté irréprochable seront la clé d'une maintenance optimale.

Chauffage : Plaque ou câble chauffant, ou aussi lampe chauffante à infra-rouge.

Éclairage : Bien que cette couleuvre ne soit presqu'uniquernent active que la nuit en terrarium, un éclairage est nécessaire le jour, Il doit être réglé par minuterie après une période d’exposition variant d’une année à l’autre : deux lampes LED culot à vis de 13 W (New Draw 13 d'Aquarium Systems) d'une température de 6 500 °K. légèrement plus froide que la lumière du jour (5 500 °K).

Reproduction : Dans leurs zones de distribution, la période d’accouplement de ces couleuvres est comprise entre mars et mai. Dans le terrarium également, cette période est généralement respectée. Il suffit d’un seul mâle et d’une seule femelle pour la reproduction, sinon il y aura des perturbations négatives qui rendent l’accouplement au moins difficile. Les différences externes entre les sexes ne sont pas toujours très nettes : le mâle peut être reconnu par la racine épaissie de la queue (pénistase). La queue de la femelle est plus courte et se rétrécit progressivement. La méthode sûre de diagnostic du sexe est la méthode de la sonde, pratiquée de préférence par un vétérinaire. Si la partenaire est prête à s’accoupler, le mâle continue à ramper. Il se glisse à côté de la femelle et essaie de l’écraser. Si la femelle n’avance pas, le mâle glisse la queue sous celle de la femelle, de sorte que les deux ouvertures des cloaques se touchent, le mâle effectuant la copulation au moyen de l'hémipénis.
L’augmentation de la forme du corps de la femelle - mais pas toujours - permet de déterminer si l’accouplement a été un succès. Comme pour les tortues, la fécondation retardée (amphigonia retardata) existe chez les serpents, de sorte que la copulation n’entraîne pas nécessairement la fécondation. Après 2 à 3 semaines, - à la mi-juin/juillet - la femelle se promène agitée à la recherche d’un site approprié pour les œufs dans le terrarium. Comme incitation à la dépose des œufs, et généralement bien accepté, on dispose dans le terrarium un pot de fleur rempli avec des feuilles mortes ou des fibres de coco. Le nombre d’œufs déposés est de 6 à 21. La femelle reste souvent allongée sur les œufs après la ponte (soins maternelles relictuels ?). Au bout de 1 à 2 jours, il faut intervenir afin de placer les œufs dans l’incubateur à bain-marie. Il est nécessaire de fixer, au-dessus du récipient contenant les œufs, une gaze en fil métallique à mailles fines afin d’éviter que les jeunes serpents ne tombent et ne se noient dans l’eau au-dessus du bord du récipient. Les jeunes serpents naissent au bout de 60 à 75 jours d’incubation.

Alimentation : Les jeunes serpents doivent être nourris et en fonction de leur taille, avec des petits oiseaux nicheurs ou des parties de ceux-ci, ainsi que des souris en petits morceaux avec des pincettes. Pour les adultes, aucun problème d'alimentation, en fonction de leur taille, les oiseaux, les souris et les rats sont acceptés sans difficulté. Aujourd'hui achetées congelées, les proies doivent être réchauffées au micro-onde, le bien-être animal est passé par là ; dans le temps la proie vivante était plus attractive.
Législation : Le certificat de capacité n'est pas nécessaire, mais comme le serpent dépasse 1,50 m le nombre de spécimens est limité à 10 individus. Que fait-on lorsque le couple produit plus de 8 jeunes (sic). Pour toute transaction un certificat de cession est établi entre le vendeur et l'acheteur, le spécimen doit être pucé. (Arrêté du 8/10/2018 (en Conseil d'Etat, non suspensif).


Thamnophis sirtalis parietalis RAThamnophis sirtalis (Linné 1766).
Nom commun : Jarretière
Famille : Colubridae
Sous- famille : Colubrinae
13 sous-espèces et de nombreux synonymes. Nous montrons ici Thamnophis sirtalis parietalis.
Taille : Thamnophis sirtalis, ou les valeurs rapportées, de 50 à 80 cm.
Description : Les jarretières, dont certaines sous-espèces sont très colorées sont très robustes en termes de capacité d'adaptation (valence écologique). C’est un serpent très mince, élégant, semblable aux espèces du genre Elaphe. La queue s’écoule en longueur et en pointe, Les yeux noirs ont des pupilles rondes. La couleur dans la partie supérieure du corps est brun-olive ou presque noire. Au centre du dos une ligne jaune, les côtés avec une bande noire (avec des reflets rougeâtres pour Th. s. parietalis) le ventre est jaune à blanc. Comme pour Pantherophis, il s'agit d'une couleuvre ovipare.

Répartition géographique : Ontario, Minnesota, Iowa, Missouri, Arkansas, au Texas jusqu'à la côte atlantique, de la Nouvelle Ecosse à la Floride La reproduction nécessite l’hibernage. Cette espèce aime les zones humides, rivières, marais et champs humides, les fossés en bord de route ou d'irrigation jusqu'à une altitude de 2 400 m.

Thamnophis sirtalis 30 RAMaintenance : Cette espèce est particulièrement active le jour et demande un terrarium de 100 X 40 X40 cm minimum comprenant un récipient d'eau assez large et un point chaud à 30 °C (câble chauffant Aquarium Systems). Température entre 20 et 30 °C., plus froide la nuit. Hibernage de novembre à mars entre 8 et 10 °C. Agencement : quelques pierres, racines de tourbière, écorce de liège. Il faut une partie sèche, plaque rocheuse au-dessus du câble chauffant, et une partie humide ; une maintenance trop humide provoque des maladies de peau. Une bonne aération est indispensable. Si l'on dispose de plus de place comme un aquaterrarium de 150 X 60 X 50 cm, il sera possible de créer un petit bassin (une partie en 20 cm sur 60 cm en profondeur avec filtre intérieur et pompe à air) dans ce cas le fond restera nu.

Éclairage : Idem que pour Pantherophis sauf la durée d'éclairement 10 h au printemps, 15 h en été puis 10 h en automne. Pendant l'hibernation, la lumière de la pièce où est situé le terrarium suffit.

Thamnophis juvéniles RAAlimentation : L'alimentation pourrait être exclusivement constituée d'éperlans congelés, mais…occasionnellement des vers de terre communs (Lombriculus) ce qui apporte des oligo-éléments dont on pourrait aussi farcir les éperlans, mais Il faut rester sur ses gardes car de nombreux cas d'intoxication sont signalés (herbicide + pesticides + engrais). Donc utiliser de préférence des vers de terre bio, par exemple ceux de votre compost. Pour les jeunes, nourrir, dès la naissance, avec des lanières d'éperlan ou de jeunes Guppy dans un cul de bouteille d'eau minérale (voir photo) ; cela nécessite un élevage secondaire de petits poissons. Le choix du Guppy se justifie déjà par son nom commun « poisson-million ». Que les végans et autres antispécistes me pardonnent mais les jeunes parfois ne mangent pas autrement que grâce à l'instinct de chasse.

Reproduction : C’est une couleuvre donc ovipare. Pour la reproduction, l'hibernation est primordiale. Un seul mâle et une seule femelle suffisent. La différenciation sexuelle secondaire est une queue plus élancée et plus longue chez le mâle. Pour être certain, il faut avoir recours à la sonde (voir plus haut) et au vétérinaire. Au moment de la pariade, le mâle ne mange plus, devient nerveux et s'agite dans le terrarium. Le moment de la présentation de la femelle doit intervenir après la mue des deux partenaires. L'accouplement a lieu de mai à juin. Le mâle pourra être retiré, la femelle trouvera l'endroit le plus favorable pour la ponte dans le terrarium. Les œufs sont au nombre de 7 à 85. La taille des serpenteaux à l'éclosion est de 13 à 23 cm. Lorsque le nombre des jeunes est élevé, il peut y avoir une forte mortalité.

Législation : Cette espèce ayant une taille inférieure à 150 cm, le quota maximum est de 25 spécimens sans formalité, à partir du 26è, le certificat de capacité et l'ouverture d'établissement sont nécessaires. En espérant que les 60 œufs n'éclosent pas ! Pour toute transaction un certificat de cession est établi entre le vendeur et l'acheteur, le spécimen doit être pucé. (Arrêté du 8/10/2018 (au 30/01/2020 : en Conseil d'État, non suspensif)).



Cerastes cerastes Vipere à cornes RACerastes cerastes (Linné, 1758)
Le choix de cette espèce est dicté ici par le fait que beaucoup de terrariophiles vont capturer des vipères à cornes lors d'un séjour dans les pays du Maghreb. Personnellement j'en ai débusqué au vaporisateur avec de l'essence du côté de Tataouine (Tunisie) en 2018 (voir photo). Elles étaient assez agressives. Je n’en ai pas ramené, car je suis trop âgé pour une maintenance en captivité de ces bestioles, mes reflexes diminuants ; mais il fût un temps ...

La législation : La vipère à cornes est un vipéridé et donc classée comme espèce dangereuse (annexe de l'arrêté du 21 novembre 1997). Sa possession nécessite un certificat de capacité avec autorisation préfectorale d'ouverture d'établissement à partir du premier spécimen. Vente entre amateurs titulaire du certificat de capacité et certificat de cession (le spécimen doit être pucé).

Famille : Viperidae
Sous-famille : Viperinae
Nom commun : Vipère à cornes
Répartition géographique : Egypte, Libie, Tunisie, Algérie, Maroc, Mauritanie, Mali, Niger, Israël, Jordanie, Soudan, Irak.
Taille : de 50 à maximum 80 cm.

Cette espèce commune est assez placide, « amicale », cependant il existe des individus agressifs. Donc méfiance au premier abord. Toute manipulation doit être réfléchie, et il faut se protéger d'une morsure éventuelle.

Biotope : Zones désertiques, dans les lits asséchés des rivières (oueds), mais elle a une préférence pour le sable très fin des dunes. Elle se cache dans les racines des buissons ou dans les terriers des petits mammifères.

Cerastes cerastes femelle pleineRADescription : Le corps de cette vipère est robuste et massif. La queue est courte et mince (caractéristique des vipères) la tête triangulaire est nettement déportée du cou avec une corne écailleuses au-dessus de chaque œil. L'œil est rond, mais la pupille est à fente verticale. Sa couleur de fond est grise avec un voile jaune. Cette coloration est couverte de taches brunes parfois légèrement rougeâtres, disposées assez régulièrement tout au long du corps. On note une bande post-oculaire brune jusqu'à l'extrémité arrière de la mâchoire inférieure. Le ventre est blanc, les écailles latérales sont carénées, en pelle, pour avancer facilement dans le sable ou s'enterrer. Avec des contractions latérales et des mouvements ventraux, cette vipère s'enfonce dans le sable et disparaît rapidement. La locomotion se fait par mouvements en S latéraux (sidewinding) produisant un léger bruit de « ruissellement ». L'espèce est ovipare (beaucoup de vipères sont ovovivipares), un aménagement spécial est nécessaire dans le terrarium pour la ponte.

Activité
Elle est partagée, plus active de jour au printemps, elle s'échauffe sous les rayons matinaux du soleil. Activité diurne le reste de l'année.

Température de maintenance : Cette espèce est à maintenir entre 28 et 32 °C avec un point chaud à 31 °C. La nuit la température peut descendre sous les 20 °C. Pour l'hibernation, il suffit de couper le chauffage de novembre à mars, mais la température idéale pour cette période sera de 12 à 15 °C.

Le terrarium : Il pourra être assez modeste mais d'au-moins un mètre, afin d'offrir un volume suffisamment sécurisant (rien à voir avec l'élevage en racks). Plus le terrarium est petit, plus seront importants les risques d'agression et le danger. L'ouverture sur l'avant devra être à portes coulissantes et verrouillable à clef. Favoriser un terrarium avec une distance de sécurité (largeur) suffisante afin d'avoir un recul pour la manipulation de la vipère avec pince et crochet, en toute sécurité. L'aération est assurée par un tunnel perforé en inox sur l'avant du terrarium et par une plaque perforée sur le dessus et à l'arrière du terrarium.

Cerastes cerastes enterréeRAAgencement : Celui-ci devra être simple et entièrement visible sur tout son intérieur. La hauteur du sable devra être de 8 à 10 cm, d'une granulométrie inférieure à 0,5 mm, arrondie et sans arrête coupante. Une pierre plate pas trop haute et un refuge pourront être installés mais pas du côté de la porte d'ouverture, par contre une petite coupelle pourra être placée cette fois du côté de l'ouverture permettant un remplissage quotidien sans avoir à ouvrir la porte en grand. Le point chaud sera assuré avec une plaque chauffante de 8 à 16 W à fixer en-dessous sur la plaque de verre sur le fond du terrarium. Il peut aussi être réalisé avec une lampe à infrarouges de 60 W. Le chauffage est couplé à un thermostat avec une sonde dans le terrarium. La minuterie dirigera le chauffage et la lumière (et lampe UVb éventuellement et Infrarouge au-dessus de la pierre), le tout sur une durée de 12 h.

Alimentation : Bien que dans leur milieu naturel les vipères chassent essentiellement des lézards et des scinques, elles peuvent être nourries sans problème avec des souris et de jeunes rats. Il peut y avoir des problèmes d'alimentation avec les juvéniles, dans ce cas il faut essayer avec des souriceaux (rosés) congelés (cela fonctionne mieux avec du vivant mais le bien-être animal est passé). En cas de refus, il faut recourir au gavage des serpents. Mais c'est compliqué, les jeunes étant assez paresseux pour manger. J'ai parfois réussi avec des lanières de knacks de 2 mm coupées au carré, long de 2 cm en les maintenant individuellement sur de l'essuietout. L’élevage se fait entre 28-32 °C. Au départ, l’eau et l’humidité leur sont fatales.

Reproduction : L'hibernation est primordiale pour une reproduction réussie, elle peut se faire dans des boites en rack à 15-17 °C de novembre à mars. Un seul mâle et une seule femelle sont suffisants. Ils seront mis en présence après la première mue. La parade est similaire aux colubridés. Le mâle rampe dans des mouvement saccadés et convulsifs, la tête et le corps sur la femelle. Par la suite, le mâle se place à côté de la femelle et il essaie de glisser l'extrémité de la queue sous la femelle afin que les ouvertures cloaquales se touchent. L'hémi-pénis est introduit dans le cloaque de la femelle. L'accouplement a lieu entre mars et mai. En juillet, la femelle voudra pondre. Elle est nerveuse et se déplace souvent à la recherche de l'endroit idéal. À ce moment, il faut disposer une boîte en plastique d'environ 20 sur 30 cm dans le terrarium contenant des billes de polystyrène. Il est recommandé de se déplacer doucement autour du terrarium, en aucun cas la femelle doit s'affoler. Le mâle a été retiré 2 mois auparavant. Les œufs au nombre de 8 à 20 éclosent à 25-32 °C entre 30 et 60 jours. Il faudra de temps à autre brumiser les œufs faute de quoi ils pourraient se dessécher. Ils seront adultes à 2 an environ.



Bibliographie
Allgayer, R. 2013 La reproduction facile en terrarium La lettre PronaturA 2013-1 : 1-4.
Matz, G. & M. Vanderhaege Le guide du terrarium 2004 Delachaux& Niestlé
Internet : http://www.reptile-database.org/ (Peter Uetz et Jakob Hallermann, Zoological Museum Hamburg, Allemagne

Texte et photos : R. Allgayer - 1er vice-président & conseiller scientifique de la Fédération Française d'Aquariophilie


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